«Et roses et vase», Samuel Deshayes et Alcarr Iceolcollectif pou13 septembre 2012Alcarr Iceol / poésie / Samuel Deshayes1 commentaire l’aube où se lavedans une étreintel’ennui du jourou mes empreintespour un pays inconnu est une valse dont les rondeursont des départsou des débordsoù l’on embarque à cru Pages 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 Article suivant Première amphionie parisienne, Samuel Deshayes et Guillaume Marie